Le travail avec Lapsus chevelü m’emmène vers des formes hybrides entre spectacle vivant et performance, basés pour la scénographie sur des recherches plastiques au sein d’un écosystème de création qui prend en compte tous les interprètes et concepteurs et se déploie dans l’espace de représentation, lui-même questionné. Les processus de travail permettent de travailler une chorégraphie de l’espace, une attention au mouvement qui se déploie dans le temps, en étroite collaboration avec la lumière. S’y ajoute une recherche très précise autour de l’objet, et des matériaux, de leur justesse symbolique et matérielle.